Propositions de randonnées • Jura Rando

De la gare de Glovelier, nous longeons la route jusqu’à l’église. Puis, nous prenons la direction de Saignelégier, visons la voie ferrée afin de la traverser en passant sous le pont. De là, nous montons la magnifique Combe du Bez. Le souffle haletant, nous grimpons le long du ruisseau durant plus d’un km. Jusqu’à la sortie de la forêt où le chemin oblique à droite et traverse le pâturage. Nous traversons avec précaution la route de la Corniche (lien entre La Caquerelle et La Roche) et arrivons au lieu-dit Le Bosnier (avant le Bosnire) à 780 mètres d’altitude. De là, 3 itinéraires permettent de rejoindre St-Ursanne. Nous optons pour celui qui se dirige vers St-Brais/Tariche. Prudemment, nous longeons la route car les voitures roulent à vive allure sur ce tronçon. Après quelque 500 mètres, nous quittons le bord de la route et suivons la crête, par un sentier tapissé de feuilles mortes. A la hauteur de la Saigne-Dessous, un coup d’œil s’impose sur la vallée de Delémont et sur la ferme du Mt-Russelin. Un peu plus loin, toujours sur le sentier forestier, des entailles dans le terrain aiguisent notre curiosité. Ce sont des tranchées de la guerre de 14-18. Nous quittons la forêt et débouchons sur un pâturage situé au point culminant de notre itinéraire. Nous passons à proximité d’une maison esseulée aux volets clos alors que le tracé pédestre passe où il peut…Nous obliquons à gauche et longeons le bord d’un pré pour rejoindre un chemin carrossable conduisant au hameau Sceut-Dessus. Au croisement, nous prenons la direction des Errauts / Tariche. A quelques mètres de là, se trouve la plaque commémorative inaugurée à l’occasion du 40ème anniversaire de la création du canton du Jura, le 23 juin 2019, par les autorités politiques jurassiennes, en compagnie d’une centaine de marcheurs et marcheuses. Elle est placée à l’endroit où se rejoignent les districts de Delémont, de Porrentruy et des Franches-Montagnes. Après la montée et le plat, nous entamons une descente douce sur un chemin carrossable en admirant le paysage et le haut du Clos du Doubs avec en point de mire, le village d’Epauvillers. Notre chemin plonge ensuite dans la forêt puis en ressort dans un pâturage et se termine à la ferme des Errauts. Puis, nous suivons le sentier qui parcourt, en forêt, le secteur de la Taiche et côtoie un éperon rocheux. La descente est assez raide et peut être glissante en raison du tapis de feuilles. Des escaliers, construits tout récemment par des bénévoles des Sentiers du Doubs et de Jura Rando, permettent une descente plus aisée et débouchent sur un chemin carrossable. A Tariche, nous avons l’embarras du choix pour gagner St-Ursanne, à 6 km. Soit la rive droite jusqu’au pont de Ravines ou la rive gauche en traversant le Doubs en barque. Notre choix se fera en fonction de divers critères… Le tracé de la rive gauche suit le bord du Doubs alors que celui de la rive droite s’en éloigne quelque peu jusqu’au pont de Ravines, qu’il faut traverser pour rejoindre le sentier désormais conjoint. A noter qu’en hiver, la barque n’est pas desservie. Et en été, avant le pont de Ravines, sur la rive gauche, nous croiserons peut-être des vaches allaitantes…Après la ferme de la Lomène, nous apercevons le viaduc de St-Ursanne…

C’est de Soyhières que part cette attrayante excursion. Après le passage sous voies, nous montons légèrement puis descendons sur la STEP. Nous prenons ensuite la direction de La ferme de la Hindere Rohrberg qui nous indique que nous sommes à la frontière des langues. A cet endroit, nous observons la vaste plantation de pommiers, damassiniers et noyers. Arrivés à la lisière de la forêt, nous empruntons un étroit sentier qui traverse un univers de végétation intense. Une grimpée suivie de l’arrivée sur un plateau où se niche la ferme du Vadry. Encore un petit effort pour gagner, après quelque 2,5 heures de marche, la cabane forestière en rondins de la Rochatte où une pause est bienvenue. La seconde moitié du circuit est moins exigeante physiquement. Le tracé serpente de points de vue en points de vue. Il côtoie une succession de petits massifs rocheux culminant avec le Roc de Courroux (802 mètres). Avant de gagner le fond de la vallée, on jettera un coup d’œil au vignoble planté en 2006 au pied de la montagne. La dernière partie du sentier traverse une zone d’exploitation du fer. Après 1,5 heures de descente, voici le Colliard, lieu de rdv de la Birse et de la Sorne. Enfin, cap sur Soyhières avec un agréable parcours le long de la Birse dominée par le Vorbourg sur la gauche. Puis, un témoin de notre excursion se présente à l’horizon, le château, qui, il y a quelques heures, nous a vus nous élancer au pied de son flanc nord.

Nous partons de Châtillon (arrêt de bus au bas du village et places de parc à disposition), résidence du célèbre Chêne des Bosses et prenons la direction de Vellerat en passant par le Cras des Chenal. Puis, nous traversons la route goudronnée Courrendlin – Vellerat en prenant la direction de Vellerat. Nous nous engageons en forêt sur le chemin blanc et nous contournons l’arête rocheuse qui prolonge la forêt. Nous rejoignons les Champs de la Joux sur la droite pour arriver au village de Vellerat. Châtillon est dans notre viseur et nous prenons le chemin vicinal qui surplombe un biotope pour atteindre le point 688, où le sentier rejoint le chemin de La Montagne à suivre jusqu’au point 976.Par la droite, nous descendons le sentier assez raide de la Forêt des Vieux Ponts pour arriver à la loge de La Montagne. Avant d’arriver à Châtillon, nous admirons le Chêne des Bosses, objet remarquable du patrimoine naturel jurassien. Cet arbre hors du commun, qui doit son nom à son vieux tronc très tourmenté fait de bosses et de renflements, est considéré comme le plus grand et le plus vieux chêne pédonculé d'Europe. Quant à son âge, difficile de le déterminer. Le chêne des Bosses est multiséculaire, la légende lui prêtant même plus de mille ans

Qui dit mieux? Débuter une randonnée par la traversée de Soulce, le seul village jurassien classé en catégorie ISOS A (Inventaire fédéral des sites construits d’importance nationale à protéger en Suisse). La rue principale compte de belles anciennes demeures, des fontaines, un canal menant à un ancien moulin et longe un affluent de la Sorne, le Folpotat. Un cours d’eau à l’appellation étrange enjambé par plusieurs petits ponts en pierre. (L’astronome jurassien Michel Ory a découvert, en 2004, un astéroïde qu’il a baptisé (363582) Folpotat). Sur une façade, un panneau signale que 23 espèces d’orchidées et 54 sources ont été recensées sur les quelque 1500 hectares d’une nature encore intacte. En fin de localité nous quittons le Folpotat et empruntons la route qui part sur la droite à la hauteur de la Maison D’Art. Celle-ci rejoint après une quinzaine de minutes un chemin balisé, non asphalté, qui traverse une forêt avant d’atteindre Les Prés Dessus. Au point 822, nous bifurquons sur la droite et montons Sur le Plain en prenant garde de quitter le chemin carrossable quand celui-ci redescend. Sur la gauche, un chemin de plus petite taille fait face à une falaise au pied de laquelle s’écoule un ruisseau. Arrivé dans le pâturage pentu, on peut se mettre dans la peau des enfants des agriculteurs du Domont, la famille Crétin. Eux qui se rendaient durant toute l’année à pied à l’école. En levant la tête, on aperçoit notre futur parasol naturel qui se découpe dans le ciel: un grandiose tilleul. Puis, c’est au tour des fermes d’apparaître sur ce balcon situé à 1000 mètres. Nous voici En Domont. Un pique-nique s’impose sous le tilleul, un honorable vieillard de plus de 300 ans, d’environ 35 mètres de haut et de pas loin de 7 mètres de circonférence ! De quoi garantir un peu de fraicheur et d’ombre bienvenue. On abandonne presque à regret ce délicieux endroit. Une montée en diagonal, sur la droite, permet de rejoindre une loge puis un réservoir. Nous voici en une petite demi-heure sur la crête. Quel panorama à 360 degrés! D’ici nous allons cheminer sur le tracé venant de la Montagne de Moutier. Les Gorges de Court et la Tour Botta sur le Moron sont proches. Se retrouver sur un versant sud, va de pair avec davantage d’ensoleillement, de nombreuses résidences secondaires et une route carrossable. Au Pré de Vigne, transformé en banc, un ancien tonneau à purin, invite à jeter un coup d’œil à un minuscule point d’eau entouré de multiples animaux. Nous entamons dès lors notre descente avec tout d’abord une ferme et un vallon parsemé d’emposieus, puis un chemin assez rectiligne en forêt. Celui-ci croise le sentier « Balade Terre » récemment inauguré ainsi que divers chemins forestiers. Après les sapins et le martellement des pics, place aux arbustes et aux chants d’eaux sur les Esserts. Le village de Soulce s’offre dès lors à notre regard, la boucle se referme.

De la gare CJ de Saignelégier, se rendre en direction de la Halle du Marché-Concours, puis suivre la route de Muriaux en direction de la ferme Sous les Cerisiers, puis celle de la Sous la Neuve Vie afin de rejoindre le hameau des Cerlatez. Suivre le balisage en direction du Cerneux-Belin pour rejoindre le hameau de La Theurre. A cet endroit, se trouve une curiosité exceptionnelle, celle de l’étang de la Gruère qui s’étend dans une région de tourbières. Sur ses rives, la flore est comparable à celle qui pousse aux abords des étangs du Grand Nord. Le pin et le bouleau nain y dominent, alors que partout ailleurs les Franches-Montagnes ne connaissent guère que les grands sapins. Faire le tour de l’étang puis viser le hameau des Rouges-Terres en passant la Petite Theurre ainsi que la ferme de la Neuve-Velle. Arrivés au hameau des Rouges-Terres, délaisser le balisage sur une centaine de mètres et suivre la route goudronnée en direction de Saignelégier pour rejoindre le balisage et prendre la direction de l’Etang des Royes. Regagner Saignelégier en passant par la Tuilerie afin de terminer notre boucle !

La randonnée débute à la gare de Porrentruy, en direction du Pont d’Able et suit l’Allaine en bordure de forêt. Avant le Pont d’Able, obliquer à droite sur le chemin forestier qui monte la Troisième Combe en direction du Mont de Coeuve. En arrivant à Sur Le Mont, vous pourrez vous ravitailler à l’auberge. Ou faire une halte « pique-nique », 2 km plus loin, à la cabane forestière qui se trouve dans la forêt de Montorbé. De là, l’itinéraire part à gauche en direction de Montignez. A Montignez, quitter le village par la route en direction de Buix. A la sortie de Montignez, prendre à droite, le chemin vicinal menant à une nouvelle cabane forestière. S’enfoncer dans la forêt et suivre le chemin longeant la frontière franco-suisse, en direction de Boncourt. Ensuite de quoi, traverser le plateau du Mont Renaud où une tour d’observation est érigée. Cette dernière permet un fameux coup d’œil sur l’Ajoie et la France voisine. Enfin, viser la gare de Boncourt afin de reprendre le train et revenir à notre point de départ, Porrentruy. Sur cet itinéraire, vous trouverez plusieurs tables/bancs.

Nous vous proposons de parcourir la 2ème étape du Chemin du Jura, itinéraire régional 31 aux couleurs de Suisse Mobile qui mène de Lucelle à Porrentruy. A l’arrêt de bus de Lucelle (Douane), localité franco-suisse, suivre la rive de l’étang de Lucelle en direction de l’ancienne abbaye de Lucelle qui se situe sur sol français. Puis, suivre le sentier qui longe la frontière franco-suisse en direction des Ebourbettes, ferme sur territoire français, et prendre en direction du Roc aux Corbeaux, point de vue qui offre un magnifique panorama sur le paysage alsacien. Le sentier traverse ensuite la forêt de la Vigne et débouche au pied du Mont-de-Miserez, à l’entrée d’un pâturage. Notre itinéraire se poursuit en direction des villages de Miécourt, puis Vendlincourt et enfin Porrentruy, magnifique bourgade connue, entre autres, pour son château et sa vieille ville. Celles et ceux qui le souhaitent peuvent s’arrêter à Miécourt pour se ravitailler et/ou prendre le Car Postal en direction de Porrentruy.

L’itinéraire nous conduit des Enfers près de Montfaucon à Soubey, au bord du Doubs. Le chemin, à l’Est des Enfers nous mène à travers pâturages en direction des Sairains et de St-Brais où nous apercevons les éoliennes qui tournent à plein régime. Ces dernières ont été mises en service en 2009 et l’énergie produite est destinée à la ville de Zürich... Laissons derrière nous les éoliennes et continuons notre chemin en arrivant sur un point de vue qui surplombe le village avec en arrière-plan les Rochers de St-Brais ou encore plus à l’Est, les grottes de St-Brais. Le parcours prend ensuite la direction de Soubey en passant par Montfavergier. Puis, un chemin pentu nous conduit en direction des bords du Doubs en rejoignant la ferme du Champois. Quelque 500 mètres plus loin, nous apercevons le site du Moulin de Soubey enchâssé au pied de la montagne à proximité du Bief des Moulins, donc l’eau fraîche alimente une grande pisciculture. Le moulin construit en 1535 a cessé son activité dans les années 70 Bienvenue(moulin-soubey.ch). Propriété d’un compositeur-concertiste, il a été récemment rénové. Puis, nous empruntons le sentier en direction de Soubey, destination de notre excursion.

De la gare CJ (Chemins de fer du Jura) des Breuleux, nous prenons la direction du Roselet connu pour sa Fondation pour le cheval. Puis, nous continuons en direction des hameaux de Les Cerlatez et de la Theurre. A cet endroit, se trouve l’étang exceptionnel de la Gruère qui s’étend sur une région de tourbières. De là, nous traversons la route cantonale pour rejoindre Les Breuleux par le hameau paisible de la Chaux-des-Breuleux.

Cet itinéraire nous conduit aux deux chemins de montagne (blanc-rouge-blanc) que compte le canton du Jura. De la gare CJ (Chemins de fer du Jura) du Noirmont, nous empruntons la rue du Doubs puis la rue de la Côte afin de rejoindre le chemin pédestre. Puis, afin de rejoindre le Doubs et le Theusseret, nous descendons le sentier Chez le Bolé tout en admirant à notre droite l’impressionnant rocher des Sommêtres. Arrivés au bord du Doubs, rivière franco-suisse, tout près du Theusseret, nous prenons la direction de la Goule et la Bouège en continuant de longer le Doubs. Avant d’arriver à la Bouège, nous quittons la rivière franco-suisse pour monter au Noirmont, notre lieu de destination, par le sentier du Facteur et La Seigne aux Femmes. A noter qu’au bord du Doubs, vous trouverez plusieurs restaurants afin de vous ravitailler.

De la gare CJ (Chemins de fer du Jura) du Pré Petitjean (près de Montfaucon), nous empruntons le chemin longeant la voie ferrée. Nous traversons le secteur de Plain de Saigne avec son magnifique étang. Puis, nous continuons en direction de la ferme restaurant de La Combe (arrêt CJ), poursuivons jusqu’à l’étang de Bollement (arrêt CJ) qui se déverse dans une gorge pittoresque. L’itinéraire descend le long du ruisseau Le Tabeillon puis passe à la halte CJ La Combe Tabeillon et se termine à Glovelier. A noter que cet itinéraire est fréquenté par plusieurs mobilités douces (VTT, trottinettes et chevaux).

De la gare CJ (Chemins de fer du Jura) de Bonfol, nous traversons le village pour arriver à l’oratoire de St-Fromont. Nous continuons en direction d’Eichholz, à la frontière franco-suisse. Puis, nous traversons la forêt du Bois Juré jusqu’au Largin, poste d’observation de la guerre 14-18. Un fortin de bois a été reconstruit à l’identique sur les lieux en 2012. De là, il est possible d’effectuer une boucle de quelques km supplémentaires sur sol français, en empruntant le « circuit du kilomètre 0 » afin d’y voir plusieurs ouvrages militaires de l’époque. Le «kilomètre zéro» représente le point de départ du front militaire qui s'étendait jadis de la frontière suisse à la mer du Nord. Du Largin, nous revenons sur nos pas afin de rejoindre les étangs de Bonfol. Pour y arriver, nous franchirons la route Bonfol-Courtavon/F, au lieu-dit La Haute-Borne, puis nous continuons en direction de la cabane forestière communale. Notre boucle se referme à la gare après avoir savouré la quiétude de l’étang du Milieu. Ce parcours suit en partie le circuit Suisse Mobile 456.

De Chevenez, village de la Haute-Ajoie et capitale de la St-Martin, nous prenons la direction Sur les Roches puis la Vacherie Dessus. Une place de pique-nique y est aménagée aux abords de la chapelle. L’itinéraire nous mène ensuite à la tour d’observation de La Faux d’Enson qui offre un joli point de vue. Finalement, en passant par Roche d’Or, hameau perché, nous rejoignons Rocourt

La Courtine (de Bellelay) englobe les villages de Lajoux, Les Genevez et Bellelay. De Lajoux à Lajoux, cette randonnée nous emmène à Bellelay, haut lieu de l'histoire jurassienne, célèbre autrefois pour son abbatiale et son couvent, son hôtellerie et relais de diligence. Bellelay, c’est encore le lieu emblématique de la Tête de Moine, fromage de Bellelay. En effet, un document datant de 1192 fait mention d’un fromage et des moines de Bellelay. Les moines payaient le cens annuel de certains biens fonciers avec du fromage fabriqué à l’abbaye. La Tête de Moine est une dénomination connue depuis 1790. A Bellelay, visite possible du Musée de la Tête de Moine et du site équestre. Avec ou sans visite, nous revenons à Lajoux, notre lieu de départ.

Au départ de Lajoux (Bâtiment La Poste), cette rando nous emmène sur une partie des trois chemins didactiques de l'eau, du fer et de la chaux proposés par la commune de Lajoux. Pour en savoir +, cf site Internet de la commune de Lajoux, cf Découvertes/En marche vers le paysage.

De Lucelle, petite commune transfrontalière située entre la Suisse et la France, prendre en direction de Pleujouse en montant aux Aidjolats. Puis, emprunter le chemin qui descend vers le château de Pleujouse, puis suivre en direction de Charmoille. Au Chenêt, bifurquer à gauche pour atteindre le village de Fregiécourt. De là, notre prochaine destination est Cornol. Ne pas pénétrer dans le village mais par la droite, cheminer sur le chemin de campagne qui conduit à l’étang de la Montoie où une place de pique-nique est à disposition. Traverser la forêt au sortir de laquelle, nous apercevons Miécourt, notre lieu d’arrivée.

Au départ de Develier, nous rejoignons la Golatte puis la Haute-Borne. De là, nous suivons le chemin forestier qui nous conduit au Béridier. Cet endroit offre un point de vue exceptionnel sur la ville de Delémont, le Val Terbi et la vallée de la Sorne. L’itinéraire nous conduit ensuite à Delémont, en passant par le quartier du Mexique, en bordure du Vorbourg, lieu emblématique. De la vieille ville, nous rejoignons la gare.

De Courchapoix, dans le Val Terbi, nous gagnons les gorges du Tiergarten creusées par la Gabiare dans le sol calcaire. L’itinéraire nous emmène ensuite à Vermes. Derrière l’église, joyau médiéval, le balisage pédestre indique le départ du sentier botanique, riche en panneaux explicatifs. Notre parcours débouche ensuite sur le pâturage de Plain Fayen où la vue est imprenable et où une cabane forestière est à disposition des randonneuses et randonneurs. Enfin, nous regagnons Courchapoix.

Au départ de la gare de Glovelier, nous traversons le village et montons la magnifique Combe du Bé puis poursuivons dans le pâturage jusqu’à la Corniche du Jura au Bosnier. De là, nous continuons en direction de la Caquerelle en passant par le Mt-Russelin et au sud de la ferme « Chez Basuel ». A la Caquerelle, où se trouvent un parc de loisirs, un musée et un hôtel-restaurant, nous prenons la direction de St-Ursanne, la médiévale.

Nous avons rendez-vous à Lucelle, petit village franco-suisse, connu pour son lac, magnifique site protégé et entretenu par l’Association des Amis du Lac de Lucelle, dont le tour (du lac) est accessible aux fauteuils roulants. De Lucelle, nous quittons le lac et prenons la direction de Bourrignon jusqu’au lieu-dit « Le Moulin ». De là, nous prenons la direction de Pleigne et arrivons à la hauteur d’un magnifique monolithe, appelé la « Fille de Mai ». A 2,5 km de là, notre prochaine étape nous fait passer à la ferme de la Courtine. Afin de terminer notre boucle, nous rejoignons Lucelle en descendant le chemin à travers champs qui mène à une splendide cabane incitant à une pause bienvenue.

Vous avez rendez-vous à La Ventolière (arrêt postal) près de Bourrignon pour une boucle de 11 km. Vous prenez la direction de la Burgisberg jusqu’à la ferme de Forme (point 777). L’itinéraire passe entre les bâtiments et descend par la droite vers la ferme de la Charbonnette. Vous traversez le pâturage au bas duquel un chemin forestier prend naissance et descend la gorge de la Golatte en longeant le ruisseau de Mettembert. Au point 587, vous tournez à droite pour remonter la Combe du Vivier et ensuite atteindre la ferme du Grand Brunchenal. De cet endroit, vous prenez le sentier en lacets qui monte en direction de la Haute-Borne et de sa ferme-auberge. De là, vous continuez en passant devant le refuge des Amis de la Nature afin de rejoindre la route cantonale Develier-Bourrignon à la Montagne (point 876). Vous traversez prudemment la route que vous longerez jusqu’à votre point de départ, La Ventolière.

Votre lieu de départ et d'arrivée est St-Brais (967 m), petit village perché connu pour ses éoliennes. De là, vous prendrez la direction de Montfaucon pour ensuite viser les bords du Doubs. Tout en descente, vous passerez par les fermes de Césai puis du Poye. Arrivés au bord du Doubs, vous longerez sa rive en direction de St-Ursanne et Tariche. A Tariche (449 m), vous pourrez déguster une succulente truite (spécialité de la région). De Tariche, vous remonterez...à votre lieu de départ en passant par le pâturage assez raide pour atteindre la ferme des Errauts puis le hameau de Sceut-Dessus...et St-Brais est dans votre viseur.

Du village de Soyhières (près de Delémont), suivre la route qui passe par l'église en direction de Movelier. A proximité de la dernière maison, obliquer à gauche sur le sentier, puis sur le chemin naturel qui remonte la Combe de Mettembert, en longeant le ruisseau. Après avoir traversé successivement les villages de Mettembert puis de Movelier, quitter la route «Movelier-Ederswiller» et s'engager sur le chemin de campagne qui aboutit à la Réselle de Movelier (pt 703) puis à la Réselle de Soyhières (pt 472). A cet endroit, faire un crochet pour s'engager sur le chemin vicinal qui passe au-dessus de l'étang de la Réselle, géré et entretenu par la Société des Pêcheurs de Delémont et environs. Soyhières, notre lieu d'arrivée, se trouve à quelque 2 km.

A Delémont, de l'arrêt de bus « Morépont », nous suivons la route en direction de Laufon. A la sortie de la ville, nous traversons le pont qui enjambe la Birse que nous suivons jusqu'à la ferme de Bellerive. 500 m plus loin, nous abandonnons le sentier jaune et nous empruntons, par la droite, un chemin dans un joli vallon, puis par un sentier quelque peu raide nous atteignons le château de Soyhières. La visite de celui-ci n’est possible que lorsque que le drapeau est hissé. A vérifier donc avant de prendre la décision de monter ! Après avoir profité d’une vue magnifique, nous redescendons par l'autre côté en empruntant des escaliers charmants, mais qui peuvent s’avérer glissants par temps humide. Arrivés en bas, nous rejoignons Soyhières en passant sous la route de Bâle. Nous quittons le village et après 1.5 km de montée, nous arrivons au Deuxième Vorbourg. La vue est dégagée et le chemin agréable. Arrivés devant le restaurant du Vorbourg, un sentier à travers la forêt nous emmène aux ruines du Château du Vorbourg. La descente jusqu’à la sortie de la forêt est à parcourir avec prudence ! Le retour à notre point de départ se fait principalement en forêt à proximité d’habitations.